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Posts de blog (40)

  • Prochaine Conférence AssoSciences Denis Guthleben Jean Zay la République et la science mercredi 30 avril 2025 Salle du Sénéchal 19h00

    Jean Zay La République et la science Denis Guthleben Directeur délégué du Comité pour l'histoire du CNRS Rédacteur en chef d’Histoire de la recherche contemporaine © CNRS Images - Cyril Frésillon Grand réformateur de l’école et de la culture sous toutes ses formes — littérature, théâtre, musique, musées et cinéma (il est notamment à l’origine de la création du Festival de Cannes)—, Jean Zay (1904-1944) a conduit une action déterminante en faveur de l’organisation de la recherche scientifique en France. ​ Lorsque Léon Blum décide de lui confier le portefeuille de l’Éducation nationale, à la suite de la victoire du Front populaire aux élections de 1936, il place sous sa responsabilité un sous-secrétariat d’État à la Recherche — une première dans notre pays  ! ​ Avec la collaboration d’Irène Curie, l’une des premières femmes à siéger au gouvernement, puis surtout avec son successeur Jean Perrin, les initiatives se multiplient pendant trois ans : des moyens inédits sont attribués, des laboratoires de pointe sont inaugurés, des instances et organismes nouveaux, tel le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), voient le jour qui jettent les bases d’une politique scientifique et façonnent un paysage de la recherche, dont nous restons, aujourd’hui encore, les héritiers. ​ Docteur en histoire de l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur délégué du comité pour l’histoire du CNRS et rédacteur en chef de la revue Histoire de la recherche contemporaine, Denis Guthleben étudie l’histoire des politiques et des institutions scientifiques aux dix-neuvième et  vingtième siècles ​ Il a entre autres écrit L’Histoire du CNRS de 1939 à nos jours, Une ambition nationale pour la science (Armand Colin, 2013), La fabuleuse histoire des inventions (Dunod, 2018) et L’odyssée de la science (Dunod, 2023). AssoSciences les conférences mercredi 30 avril 2025 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse entrée gratuite

  • AssoSciences les conférences Renaud Mathevet « Expériences de lumière » 18 mars 2025 19h00 Salle du Sénéchal

    « Expériences de lumière » Renaud Mathevet Maître de conférences à l’Université Paul Sabatier recherches en optique quantique et son intérêt dans l’enseignement de la physique quantique Au moyen d’une douzaine d’expériences réalisées en direct devant le public nous aborderons l’histoire de nos conceptions de la lumière depuis Newton à la fin du XVIIe siècle jusqu’à l’avènement de la physique moderne il y a un peu plus de cent ans. Nous discuterons en particulier les approches corpusculaires et ondulatoires et montrerons comment certaines expériences dont ces modèles ne peuvent rendre compte ont conduit à la refonte de ces conceptions dans la mécanique quantique qui d’une certaine façon les unifie mais les dépasse largement. Enfin, nous présenterons une application très concrète de cette théorie qui défie notre intuition en expliquant le fonctionnement des lasers et des lampes à LEDS blanches qui ont aujourd’hui envahi notre quotidien. Renaud Mathevet a fait des études supérieures avant d'entreprendre une thèse à Paris sur l’interférométrie atomique. Cela consiste à réaliser avec des atomes des interférences comme on le fait en optique, et dont il sera largement question dans l’exposé. Depuis une vingtaine d’années, il est Maître de conférences à l’Université Paul Sabatier où il a développé plusieurs expériences d’optique atomique, de métrologie optique et d’optique quantique. Du côté de ses enseignements, Il intervient surtout dans la préparation des étudiants et des enseignants aux concours de l’agrégation. Il a par ailleurs contribué à la mise au point d’une série d’expérience d’optique quantique à destination des étudiants de master. Ces expériences, telle la violation des inégalités de Bell popularisée par le récent prix Nobel d’Alain Aspect, visent à rendre plus concrètes les bases de la mécanique quantique. AssoSciences les conférences mardi 18 mars 2025 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse entrée gratuite

  • Frédéric Pailler Le projet Gaia et ses derniers résultats 12 février 2025 19h00 Salle du Sénéchal

    Le projet Gaia et ses derniers résultats Frédéric Pailler ​ Ingénieur CNES Des collisions passées de notre galaxie aux orbites des astéroïdes en passant par des trous noirs intermédiaires, le destin des nuages de Magellan ou les exoplanètes, les données GAIA ont déjà révolutionné l’astronomie et la connaissance de notre univers proche. La conférence abordera les différents aspects de ce projet hors normes : — La mission : quels sont les objectifs de GAIA ? — Le satellite : où se trouve-t-il ? Quels sont les instruments à bord ? — Les traitements de données : pourquoi sont-ils si importants ? Quelles technologies sont utilisées ? Quel est le rôle du CNES ? — Les catalogues, production essentielle de GAIA : pourquoi plusieurs catalogues ? Que contiennent-ils ? — Les résultats scientifiques : quelques exemples concrets et visuels de découvertes faites grâce aux catalogues. Frédéric Pailler est ingénieur au CNES (Centre National d’Études Spatiales) à Toulouse depuis 2000. Il travaille actuellement au centre de traitement des données GAIA depuis 2016, où il est responsable des chaînes de traitement des paramètres astrophysiques. Il est également passionné d’astronomie depuis l’enfance et président du club de Quint-Fonsegrives. AssoSciences les conférences mercredi 12 février 2025 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse entrée gratuite

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  • Présentation et historique | AssoSciences

    AssoSciences Midi-Pyrénées est une association née à Toulouse en 2003. Elle a été inspirée de l'Université de Tous Les Savoirs à Paris et avait pour objet de proposer des mises au point sur des questionnements scientifiques et techniques contemporains, avec des acteurs de la meilleure qualité possible dans leur champ. AssoSciences Midi-Pyrénées des conférences scientifiques et techniques pour la ville et la région Paul Costa Président d'Honneur Fondateur d'AssoSciences AssoSciences Midi-Pyrénées est une association née à Toulouse en 2003. Elle a été inspirée de l'Université de Tous Les Savoirs à Paris et avait pour objet de proposer des mises au point sur des questionnements scientifiques et techniques contemporains, avec des acteurs de la meilleure qualité possible dans leur champ. Pour la constituer les sociétés savantes scientifiques et techniques de la Région ont été sollicitées. Certaines vivaient leur vie à l'écart des autres ; agir pour leur rapprochement fut accueilli très positivement par la plupart d'entre elles. Certes, des conférences scientifiques et techniques existaient déjà: l’Université Paul Sabatier par exemple, en tient sur son campus de Rangueil. Les associations de l'aéronautique aussi – Académie de l’Air et de l’Espace, AAAF. Il faut aussi citer deux organismes qui rassemblent l'essentiel des financements de la Ville et de la Région : la mission Agrobiosciences, liée à l’INRA, à l’extérieur de la Ville, tout comme le Centre Régional de la Culture Scientifique et Technique, "Sciences et Animation", qui organise sur le centre international de conférences de Météo-France des cycles de conférences-débats, « les découvrades ». Néanmoins il n'y avait pas, à part le GREP (Groupe de Recherche pour l’Éducation et la Prospective), groupement plutôt branché sur les débats de Sciences Sociales et Économiques, un "lieu" emblématique, qui offrît régulièrement, dans le centre de la ville, des programmes de connaissances scientifiques et techniques sur des enjeux de recherche et de développement. Depuis sa création plus d'une centaine de conférences se sont tenues, avec des thématiques récurrentes (l'énergie, la génétique, les nanosciences par exemple), ou des problématiques spécifiques. Chaque conférence est suivie de débats, entre l'orateur et le public. Entre 50 et 150 personnes sont régulièrement présentes, avec un noyau de fidèles, et des publics variables en nature, du lycéen de terminale ou de prépa scientifique et de l'étudiant en droit ou en IUFM en besoin de culture différente, au retraité souhaitant se tenir au courant, en passant par des personnes concernées par le champ traité. L'ensemble crée un fichier d’environ 500 personnes qui souhaitent être informées, fichier qui est progressivement abondé. Des ouvertures plus larges sur des villes voisines (vidéo-transmission, répétition de conférences lorsque l’orateur est une personnalité locale), avec l’appui du Conseil Régional sont dès cette année envisagées ; des contacts ont déjà été pris avec Cahors et Saint-Gaudens et d’autres villes sont envisagées Les Moyens L'association est en grande partie subventionnée par la Ville et marginalement par la Région. Depuis l'année dernière des cotisations de 40 euros sont sollicitées de ceux qui souhaitent être membres de l’association, mais l’adhésion n’a pas un caractère obligatoire, l’accès étant libre et gratuit. Ces moyens ne couvrent que les frais de transport et d'hébergement des conférenciers non Toulousains, en les limitant au maximum, et le tirage d'affiches et de tracts. Il est difficile de solliciter des mécènes qui de fait seraient partie prenante dans les paroles ; et même s'ils ne l'étaient pas les publics risqueraient de l'interpréter ainsi. Certains sujet -heureusement très peu- sont difficiles à gérer, le défaut de tolérance de quelques auditeurs fait malheureusement qu’ils réagissent à l’étiquette du conférencier. Il y a eu un problème pour la conférence qui décrivait le futur de l’Énergie Nucléaire, donnée par l’un des principaux responsables des programmes nucléaires civils au CEA -quelques uns, bien organisés, ont voulu la saboter-, et nous aurions certainement eu le même problème pour les OGM si nous ne nous étions pas adressé à un conférencier qui se tint à distance des points de vue extrêmes. Soulignons que les savoirs scientifiques et techniques sont à la source de débats, de connaissances discutées, d’apprentissages et de contestations, mais qu’il est difficile de faire partager l'idée qu’ils sont une culture, au même titre que la littérature, la musique ou le théâtre. Alors que l’on considère que, dans ces domaines, il n'y a jamais en nombre et en diversité trop de manifestations culturelles dans une ville ou une région, on devient vite suspicieux sur des redondances possibles s'il s'agit de sciences et de techniques. Ceci a conduit AssoSciences à éviter des sujets qui pourraient être traités par ailleurs. Nous avons toutefois fait quelques exceptions pour quelques conférences, dont on savait qu’elles seraient passionnantes et instructives. De même les salles et l’organisation choisie ne permettent pas le prolongement des discussions au-delà de certaines heures, et les pots consécutifs, où les échanges peuvent se prolonger, les réseaux se retrouver ou se mettre en place sont gérés de façon séparée et privée. Le choix de l’heure et du jour des conférences a donné lieu à quelques tâtonnements. Nous avons finalement décidé de les faire à 91h00, un compromis qui permet à la fois d’avoir des jeunes, des retraités et des actifs après leur journée de travail ; le mercredi a permis d’éviter d’autres séquences de conférences, mais nous passerons sans doute au jeudi qui paraît préférable. Il est certain que les réseaux des uns et des autres sont sollicités pour procéder au choix des sujets et des auteurs. Ils sont proposés par les membres du bureau, par des scientifiques locaux venant aux conférences. Celles-ci sont issues de l'actualité scientifique et technique, ou viennent de lectures ou d'autres voies : repérages à des colloques par exemple. Dans l'ensemble l'idée partagée est bien du sujet utile présenté par un orateur à la parole efficace. Une part de subjectivité est évidente, mais apparemment les choix et les évaluations sont assez consensuels quant à la qualité. Il n'a pas été procédé à des évaluations systématiques, ce qu'il faudra faire, mais les présences et les retours, y compris spontanés, sont satisfaisants. L'information À chaque conférence les présents s'ils le souhaitent inscrivent leur adresse mail , ou, à défaut leur adresse postale sur un bloc, et sont donc additionnés aux correspondants déjà enregistrés. Ceci correspond à ce jour à un fichier d’environ 500 personnes. La Dépêche, le grand journal régional, relaie très efficacement l'information. Des affiches et des tracts sont déposés à pas mal d'endroits stratégiques, à chaque conférence, avec y compris des relais municipaux, la Mairie étant partie prenante. Le problème est parfois celui du renouvellement du public. Un nouveau thème ou un nouveau sujet exige que l’on avertisse d’autres personnes potentiellement intéressées. C’est assez difficile sans moyens spécifiques et souvent il nous revient un « c’est dommage, je ne l’ai pas su ». L'évaluation Si l’on se fonde sur le nombre de participants, il est certain que certains annonces font mouche du fait de l’orateur et/ou du sujet. Si l’on se fonde sur les contributions au débat, certaines conférences, a priori plus confidentielles, ont connu de vifs échanges. La difficulté en fait est dans la définition d’un bon niveau, un accès pas trop vulgarisateur pour ne pas être concurrent avec d'autres moyens d'information tels que la presse, pas trop spécialisé pour ne pas décourager ; pas trop large pour éviter que l'intervention ne soit pas assez cadrée, pas trop pointu pour que l'auditeur puisse contextualiser clairement le propos. La deuxième difficulté est dans la maîtrise pédagogique que tous les scientifiques (entre autres) n'ont pas forcément. La structuration d'un discours pour intéresser n'est pas forcément la structure pertinente de l'écriture d'un article pour des pairs. Mais souvent ce sont les plus grands scientifiques qui maîtrisent le mieux la présentation de leur sujet à un public peu averti ! Par contre il est clair que la conférence débat a sûrement de beaux jours devant elle: elle représente sans doute "une sortie" comme un concert ou une pièce de théâtre, et en cela elle se rapproche de toutes les autres cultures. Elle est aussi pour les participants un lieu de fabrication de réseaux, d'amitiés, de statut partagé. Sans doute est-elle aussi une référence par rapport aux apprentissages traditionnels: certains y retrouvent "le cours" et ses discussions. Enfin, on peut penser que la distance entre conférencier et participant est une bonne distance : pas le rapport à la presse ou internet qui sont de fait déshumanisés, pas une familiarité totale qui peut parfois être un entre-soi plus qu'un lieu d'acquisition, d'interrogation ou de réflexion (voir certains "cafés"), mais la possibilité d'un échange avec un spécialiste, un expert. Tout cela à la condition expresse bien sûr que l'orateur ait été identifié clairement dans ses appartenances propres : chercheur CNRS, responsable technique ou industriel, ou président de l'association "antiX" s'il y a lieu. Les défis se trouvent sûrement à ces niveaux : faire entendre des paroles plurielles, fabriquer des lieux de références, éviter l’illusionnisme des discours généraux, brillants mais de peu de substance, tisser des lieux de confiance pérennes., surmonter les problèmes de moyens et de disponibilité afin d’établir des maillages et faire en sorte qu’associations, enseignants, chercheurs, entrepreneurs répercutent les informations sur leurs communautés et stimulent l’intérêt pour les savoirs scientifiques et techniques.

  • Archive novembre 2022 | AssoSciences

    Big Bang L'Appel des origines Dominique Regueme conférence projection/débat mercredi 16 novembre 2022 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse Beaucoup de mes souvenirs d’enfance sont liés à l’observation du ciel : à l’époque, j’étais déjà émerveillé par ces astres lointains, tous ces mondes invisibles à l’œil nu, que je prenais plaisir à découvrir, avec une simple paire de jumelles ou un petit télescope. Je me rappelle aussi des séances de planétarium, juste à côté de chez moi : la science y était racontée comme au cinéma, comme dans un véritable film, avec une histoire qui me faisait rêver, m’emmenait à la découverte de mondes inconnus, éveillait l’imaginaire et suscitait ma curiosité. Bien sûr avec le temps, mes balades sous les étoiles se sont un peu espacées : cela fait longtemps que je n’ai plus observé la voie lactée ou les anneaux de Saturne, et à vrai dire, je ne me souviens même plus où j’ai rangé ma lunette astronomique. Alors le point de départ de ce documentaire, c’est peut-être simplement le désir de retomber en enfance, de recréer, le temps d’un film, ce spectacle étoilé, simple mais majestueux, qui m’a tant fait rêver lorsque j’étais petit. Mais au-delà du seul plaisir à observer le ciel, je suis également séduit par les aspects plus philosophiques, qui ne tardent pas à apparaître, lorsqu’on s’intéresse à l’astronomie. Parmi mes lectures, j’ai souvent apprécié les ouvrages qui prolongent le contenu didactique, pour raconter l’univers en mêlant science, poésie, et parfois même un regard plus humain, intime, personnel. Car ce qui me passionne vraiment, au-delà de la compréhension des phénomènes physiques, c’est aussi ce que l’histoire de l’univers nous raconte sur nous-même : sur l’apparition de la vie et de l’être humain, et sur notre place sur Terre, petite planète perdue dans l’immensité du monde. Ainsi l’astronomie est, pour moi, intimement liée au thème des origines. Je me souviens très bien des beaux livres illustrés, que je feuilletais dans l’enfance : à l’époque, j’étais fasciné d’apprendre que la vie provenait des étoiles, ou que l’univers avait un passé, et qu’il avait tenu tout entier dans un espace minuscule, il y a des milliards d’années ! « Nous sommes des poussières d’étoiles » : cette belle expression, popularisée par HubertReeves, n’est pas simplement une métaphore poétique ; elle correspond à une réalité concrète, et résume même parfaitement le lien qui nous unit au cosmos. Ce sont ces questionnements, ce regard sur l’astronomie, que je cherche à transmettre, à mon tour, à mes propres enfants, et qui servent également de fil conducteur à ce documentaire : ce film a donc été imaginé comme une quête des origines, racontant ce grand roman qu’est la naissance du monde, de la vie et de l’Homme. Mais ce qui m’a convaincu de raconter cette histoire, et ce qui la rend à mon sens d’autant plus intrigante, ce sont surtout les nombreux mystères, les zones d’ombres qui demeurent : ainsi le scénario de nos origines n’est pas totalement écrit ; beaucoup d’étapes échappent encore à notre connaissance, à notre compréhension. Malgré ce qu’on imagine souvent, le big bang n’est pas une grande explosion lumineuse, ayant créé le monde de façon quasi-miraculeuse ! Alors j’ai choisi d’intégrer dans le film ces éléments inconnus, en les utilisant comme moteurs de la narration : le big bang n’est donc pas un aboutissement, mais il fait naître au contraire de nouvelles interrogations scientifiques, et peut-être aussi plus personnelles ou philosophiques. Avec ce film, j’ai donc voulu proposer une grande histoire, qui nous emmène à travers le ciel et l’espace, entre émerveillement et interrogations, entre sciences, philosophie et poésie. La promesse, c’est d’abord de raconter le récit de notre univers, tel que la science le comprend aujourd’hui : en évoquant par exemple l’origine stellaire de nos atomes et de la matière, la formation des galaxies et des étoiles les plus anciennes, ou encore le rayonnement fossile, cette première lumière émise par l’univers, dans son passé lointain. Et au fil du voyage, en remontant ainsi sur 13,7 milliards d’années, jusqu’au mystérieux big bang, se pose alors en toile de fond une interrogation sur la notion même d’origine : que cherche-t-on réellement dans nos origines, pourquoi sommes-nous à ce point attirés par ce questionnement, et quel est le rôle de la science ; comment peut-elle répondre à ces interrogations ancestrales ? Finalement, l’histoire de l’univers, c’est un peu comme un road-movie : l’objectif importe peu ; ce qui compte réellement, ce sont surtout les aspects inattendus, les surprises qu’on découvre tout au long du voyage. J’espère donc que ce film parviendra à tenir cette promesse, et qu’il saura ainsi étonner, surprendre, questionner et émerveiller. Dominique Regueme

  • Planning Conférences AssoSciences 24/25 | AssoSciences

    AssoSciences Midi-Pyrénées est une association née à Toulouse en 2003. Elle est inspirée de l'Université de Tous Les Savoirs à Paris et a pour objet de proposer des mises au point sur des questionnements scientifiques et techniques contemporains, avec des acteurs de la meilleure qualité possible. AssoSciences les conférences Saison 2024/2025 Programmation 2024/2025 9 octobre 2024 Les modèles embryonnaires comme nouveaux modèles d'étude en biologie : enjeux de gouvernance Emmanuelle Rial-Sebbag juriste est directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) au CERPOP (Centre d’épidémiologie et recherche en santé des populations) Université Toulouse III Paul Sabatier où elle dirige l’équipe BIOETHICS en bioéthique et droit de la santé Directrice de la Plateforme « Éthique et biosciences » de Genotoul Titulaire de la chaire UNESCO « Éthique, sciences et société » Elle est enseignante associée en droit de la santé et en bioéthique à la Faculté de médecine de Toulouse (Purpan) 19 novembre 2024 Pour un nouvel imaginaire de l’innovation à l’âge de l’anthropocène Pierre-Benoit Joly Directeur de recherche Président du centre INRAE Occitanie Toulouse 18 décembre 2024 Rencontres au pays des maths Agnès Rigny mathématicienne, auteure et psychopédagogue 23 janvier 2025 Une visite virtuelle de la grotte Chauvet Carole Fritz Directrice de recherche CNRS Directrice de la Grotte Chauvet-Pont d'Arc Maison des Sciences de l'Homme et de la Société de Toulouse CREAP - E. Cartailhac TRACES-Université Jean-Jaurès UMR 8220 LAMS Sorbonne Université 12 février 2025 Le projet Gaia et ses derniers résultats Frédéric Pailler Ingénieur CNES 18 mars 2025 Expériences de lumière Renaud Mathevet Maître de conférences à l’Université Paul Sabatier à Toulouse 30 avril 2025 Jean Zay la République et la science Denis Guthleben Directeur délégué du Comité pour l'histoire du CNRS 21 mai 2025 Sciences de l'Homme et Société L'Art-thérapie en questions ! Jean Luc Sudres Professeur de Psychologie (Psychopathologie Clinique) Psychologue Clinicien Centre d’Etudes et de Recherches en Psychopathologie et Psychologie de la Santé (CERPPS) 12 juin 2025 La Nouvelle ère de la Médecine numérique Dominique Barbolosi professeur de mathématiques à l’université d’Aix-Marseille directeur de l’équipe SMARTc (Simulation Modelling and Adaptative Response to Therapeutic in cancer) faculté de médecine Marseille-Nord

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